La chasse commence

héhé le futur Prince of Persia s'annonce....WAOW !!

Pas mal oui le nouvel avatar, ça change... en bien^^

Ne nous égarons pas sur l'avatar, même s'il est super et qu'il annonce la couleur:

LA SUITE!!!!!!

On voit la personne qui attend la suite avec impatience !!!

Menant Jaede'en par la bride, je parcourais, dans la fraîcheur matinale, le chemin qui me menait aux portes de Lordaeron, quand un détail me frappa. Une odeur de cadavre. Mon arrêt soudain me valut une tentative de morsure de ma monture, mais je n'y prêtai aucune attention. Quelque chose s'était passé ici, mais je repris ma route.
Arrivant à Brill, un détail de plus me choqua. Pas de cris d'enfant. Pas de bruit. Le silence. Et une brume épaisse semblait tomber des arbres. Machinalement, ma main s'était déplacée sur la garde de Fureur, ce qui me sauva sans doute la vie.
Une forme, qui devait ressembler naguère à un humain, me sauta dessus, et, grâce au cri psychique lancé par mon épée, je sus où elle allait frapper. Je parais le coup de taille qu'elle m'envoya, puis contre-attaquais instantanément en l'Eventail-qui-s'ouvre-dans-la-Brise, ce qui décrocha ce qui restait de torse à la chose de ses jambes. Le voile rouge du combat encore devant les yeux, je contemplais ce qui m'avait agressé, ne comprenant rien à tout cela.
La créature portait une épée rouillée, et pas d'autres vêtements. Enfin, ce n'était pas une créature. C'était une abomination, une hérésie à la Lumière, un anathème à la Nature : une goule. Un cadavre réanimé par des magies noires depuis longtemps oubliées par le commun des mortels, qui avait pour fonction de lier une âme à une dépouille, afin d'en faire un guerrier certes peu intelligent, mais ignorant la peur, et extrêmement coriace.
Un détail sur l'arme de la chose éveilla mon attention. L'insigne de Lordaeron. Cela me stupéfia. Si le porteur de cette armure avait été réanimé en mort-vivant, cela signifiait que l'on avait tué. Et si on l'avait tué, c'est que la ville... Relevant le regard de cette horreur, je compris où étaient passé les habitants.
Partout autours de moi, sur la place même du petit village, des macchabées gisaient, étendus dans des poses inimaginables pour un esprit humain, des bras anormalement retournés, des membres reposants à des dizaines de mètres de leurs propriétaires... La vision de cet enfer me remplis de haut-le-cœur, et, ne sachant toujours pas pourquoi, j'enfourchai Jaede'en et parti au grand galop en direction de ma ville, laissant derrière moi les témoins de notre négligence envers les humains.

J'entrais dans la ville avec lenteur, ou, en tous cas, tout me sembla lent. Des dépouilles gisaient partout, comme à Brill. Plus de gardes. Tous massacrés. Je me ruais vers la salle du trône, afin de voir si mon roi... Je ne sais pas quel fol espoir envahissait mon cœur en cet instant. Je courrais, me battais, tuais, sans m'en rendre compte. Ma vie défilait devant moi. J'avais déjà vécu cet épisode. Trop de fois. Les morts tombaient devant moi, Sharham prenant son content de sang, sa force affluant dans mes veines. Puis, je fus enfin devant le trône.
Mon Roi était là, étendu sur le sol, respirant faiblement. J'accourrai à ses cotés, le prenant dans mes bras.
"Non." Sa voix était presque éteinte.
-"Mon Roi, je... Laissez moi vous aider, je...
-Tu ne peux rien pour moi, c'est trop tard maintenant. Mon fils m'a trahi, et..." Une violente quinte de toux mêlée de sang le secoua, mais il reprit néanmoins. "Et tu es l'espoir de... De notre destinée. Pars, va mon Prince, Mais n'oublie pas... Ta... Ta quête ne tient malheureusement qu'à un fil. Éloignes-toi-en et..." Sa gorge se contractait sous la douleur. Je sentais les soubresauts de son cœur sur ma poitrine. Il luttait contre la mort pour me parler, et j'étais en admiration devant tant de force. "Je veux que... Tu as toujours été fidèle au trône, et je veux que tu me rendes un dernier service. Je... Je ne veux pas continuer à agoniser... Ici. A... Amène moi auprès de mes ancêtres. Dans les catacombes. S'il te plaît, Aile de mon cœur."
Je m'exécutai, et le soulevait dans un grognement. Je descendis les marches, portant mon souverain dans mes bras, sa respiration se ralentissant. Arrivé sur l'autel, je le posai avec soin, puis, tirant Fureur hors de son fourreau, je lus de la reconnaissance dans le regard fou de l'homme. Je pris à deux mains mon arme, la pointe dirigée vers le corps du vieil homme, puis l'abattais sur sa poitrine.
Ainsi mourut le dernier roi des Aigles de Lordaeron.




(Attention, n'oubliez pas de lire le post juste avant si vous voulez comprendre quelque chose...)

Que de morts autour de ce pauvre Eagle!!!
Mais c'est une plaie ouverte, ce paladin. Et je me demande bien, à part la soif de vengeance évidente, connaissant la réactivité d'Eagle, ce qui va le motiver à avancer?

Allez vite, la suite!!

Hum ... Il semblerait qu'il soit remonté a l'époque aux les elfes de sang était des haut-elfes donc qui appartenait à l'alliance ( se qui prouve qu'il est vieux en autre partie ) mais il semblerait que le voile autour de lui commence a se dissiper !!! On se rapproche de la fin ( enfin du début aussi )

de mieux en mieux, continue Eagle, à nous régaler de tes récits épiques

JE tournais mon regard vers la couronne reposant sur le sol. La couronne du roi de Lordaeron.
Si je voulais, je pourrais tout simplement... Non.
Je la ramassai, puis retournai près du cadavre de mon suzerain. Le cœur blindé, entouré d'une sorte de muraille, je la rivai sur sa tête, puis protégeai le tombeau par un sort de blocage, plongeant ainsi le dernier roi des hommes dans les ténèbres, pour l'éternité.

L'orage tonnait dehors. Des éclairs zébraient le ciel, la pluie rendait glissante la grande allée bordée de drapeaux précédant les portes de la cité. L'odeur de la mort emplissait l'air, le rendant irrespirable. Pourtant, je ne sentais pas cette odeur, ni ne faisait attention à l'eau qui s'infiltrait entre les jointures de mon armure.
Une forme gisait au sol. Une femme, ou un enfant, étant donné la taille. Je faillis me retourner, mais un détail m'incita à arrêter mon mouvement ; Une deuxième femme était là... Je fronçai les sourcils. D'autres vivants ? Ou encore des morts-vivants ?
Soudain, un éclair noir frappa la fille allongée, soulevant d'épais volutes de fumée. Un grognement naquit au fond de ma gorge, et une pensée de pure vengeance étreignit mon cœur. Sharham hurla de rage dans son fourreau, poussant mon bras à la dégainer, mais je me retins de l'empoigner, et sentis la frustration du démon jusque dans le Vide de mon esprit.
Mais dans ce moment d'inattention, la seconde femme avait disparu. Et l'Ombre s'inséra dans mon être.
Shraham fut dans mes mains, les éclairs d'énergie crépitants autours de sa lame, et para l'attaque lancée dans mon dos. Des étincelles d'ombre et de lumière giclèrent en tous sens, résultats de l'opposition que vouait mon âme à l'Ombre qui s'infiltrait désormais. Je tombais à genoux dans la boue, dans un hurlement silencieux, ne pouvant plus bouger. Encore...
Une voix féminine arriva dans mon dos... Une voix d'elfe.
"Te voici encore dans une mauvaise posture, mon Prince..." Je connaissais cette voix. Un sourire s'étira sur son visage, dévoilant ses crocs. Pas un sourire de joie, non... Le sourire du prédateur qui tient enfin sa proie...
Une dague se glissa près de mon cou, m'entaillant la carotide. Mon sang coulait à flots dans mon dos, sur mes épaules, sur mon torse...
"J'ai un marché... A te proposer. Vois-tu, dit-elle en se rapprochant de mon champ de vision, je manque cruellement de personnel ces temps-ci, et j'aurai bien besoin d'un gros-bras comme toi..." Elle se pencha devant moi, dévoilant un visage jeune, encadré par de longs cheveux noirs, lisses, attachés en queue de cheval. Si jeune... Trop jeune... Ma vision se brouillait.
La rage m'envahit. Encore... Trop de fois ces temps-ci... Les liens magiques qui me liaient au sol étaient solidement ancrés. Pourtant, un ancien dicton disait qu'une bête blessée est beaucoup plus dangereuse qu'une bête préparée au combat...
La jeunesse de mon adversaire ne pouvait pas savoir ça, et sa négligence fit que ces liens furent arrachés, et que mon coup de pied l'envoya voler à quelques mètres en arrière.
Je la soulevait d'une main gantée de fer, ramassant Sharham de l'autre, et appliquant la lame noire sur sa gorge.
"Ainsi, voici mon attaquante... Je m'attendait à mieux. Arthas n'a vraiement aucun goût. Il vieillit... La fille éclata de rire.
"- Je ne sers pas Arthas, pauvre fou, mais toi tu vas me servir." En disant cela, le même sourire que tout à l'heure avait refait surface. Puis je compris en m'écrasant sur place, lâchant mon arme et la jeune fille. Mon sang...
Tout devint noir, encore et toujours noir...
Ne suis-je finalement voué qu'a la noirceur ?

Ah, ah??
Une présence féminine aux côté de ce rustre d'Eagle?

Mais pour quels desseins?

Voilà qui promet, encore une fois, et qui me laisse perplexe, et, pire, frustré d'être obligé d"attendre la suite.

Allez, Eagle, t'es en vacance, nan?

Alors un effort, profites-en pour en faire un peu plus long!

E ben Eagle a de drôles idées, sa me fait penser a un truc mais je m'en souviens plus ^^

Moi ça me rappelle des souvenirs héhé...

té c'est bizarre mais je sens con pense la même chose ^^

Quoiqu'il en soit c'est génial^^ comme d'hab' :p

Excellent... Eagle, du a du talent et du vrai. Les tournures qui ne me semblent pas très bonne sont vraiment très rares... beaucoup plus rares que celles que je trouve excellentes.

Ton histoire m'a tenu en haleine, particulièrement à la fin.

A moi de jouer à présent

JE repris conscience brutalement. J'ouvris les yeux, et un détail me gêna. Je ne voyais rien. Je battis des paupières dans un vain espoir de récupérer ma vision: j'étais aveugle. Je sentais une pluie glacée mêlée de ce qui devait être du sang bouillant couler sur ma poitrine nue, et les chaînes qui tiraient mes bras sur les cotés me meurtrir les poignets. J'étais à genoux, dans ce qui me semblait être de la boue, et mes cheveux étaient collés sur mon visage par la pluie...
Une voix féminine répondit à mes débattements par un rire moqueur.
"Te voici bien encagé, mon petit Aigle... T'aurai-t-on coupé les ailes, que tu ne peux plus te battre...?"
Un grognement de pure haine naquit au fond de ma gorge, ce qui me valu un autre rire de la part de la fille.
"Mmh, en effet. Tu ne vois pas beaucoup, n'est-ce pas ?
-Que m'as-tu fais, sorcière ?! Qu'as-tu fais à mes yeux !" Hurlai-je en tirant sur mes chaînes de toutes mes forces.
-"Oh, rien de spécial... Étonnant comme certaines herbes peuvent s'avérer utiles pour aveugler... Enfin, tu me seras plus utile voyant ce que tu fais, plutôt que frappant au hasard."
En disant cela, elle se saisit de ma tête, et força mes yeux à s'ouvrir. Elle plongea dans eux-ci une sorte de liquide qui failli me rendre fou tant la brûlure qui résultait de la purge était grande. Néanmoins, je retrouvai ma vision, et je le regrette encore maintenant.
Chacun de mes bras étaient attachés à un poteau, en haut d'une sorte de pyramide. Des cadavres gisaient un peu partout autour de moi, avec le point commun d'avoir un trou béant au milieu de la poitrine. Ce que j'avais d'abord pris pour de la boue était en fait du sang, qui recouvrait la plupart du sol. Comprenant le destin funeste qui défilait sous mes yeux, je cherchai du regard l'objet qui servirait à m'arracher le cœur. Voyant sans doutes mon expression horrifiée, la fille éclata de rire, me lançant une œillade prononcée que je ne compris pas.
Comme des tambours résonnaient au loin, son expression changea littéralement : le visage jovial disparu pour laisse la place à un autre de pierre, et les yeux d'abord verts passèrent au gris métallique.
"Nous... Enfin, tu n'as pas beaucoup de temps pour m'écouter, alors ouvre bien grand tes oreilles. Je ne me répéterai pas, alors sois attentif à mes mots. Je te propose un marché. Ta vie en échange de ta liberté.
-Comment cela ?
-Ta vie m'appartiens, autant de temps que je le désire, sous n'importe quelle forme que ce soit. En échange de cela, je te libère. Dépêches-toi de choisir, il me semble qu'ils arrivent..."
Ce fut ses dernières paroles.
"Très bien. Fais de mon être ce que tu désires, mais détaches-moi !"
Elle me regarda, puis me souris avec gourmandise. Une douleur froide fusa de ses yeux et se planta dans mon dos. Sous l'effet de la contraction de mes bras, les chaînes explosèrent, et je compris d'où venait mon nom.
"Vois-tu, ton nom n'a pas été choisi à la légère. Quand tes parents t'ont vu naître, ils savaient, de même que moi, ce que tu étais. Car tu es une abomination de la nature, un hérésie dans notre monde. Tu ne dois pas exister ici. C'est pourquoi, lorsque tu es né dans le plus grand secret, ils t'ont enlevé une partie de ton corps. Deux, en fait. Deux magnifiques ailes."
Je la regardai avec étonnement lorsqu'elles sortirent brutalement de mon dos, me faisant tomber à nouveau à genoux. Le souffle coupé, je contemplait avec stupeur mes ailes. Elle me tira de mon effarement en me rappelant d'un signe que les trolls arrivaient, et je n'attendis pas plus longtemps. La prenant dans mes bras en courant, je sautai dans le vide.
Et les Ailes de l'Aigle se déployèrent.

eh oui, j'en ai fait des sacrifices pour te rendre tes ailes mon petit aigle...mais ne te crois pas sauvé pour autant...

"Mieux vaut vivre un jour et Libre que toute une vie en esclave." J'eus préféré mourir plutôt que de laisser ma vie appartenir à quelqu'un. Mais ce n'est pas moi qui est "en scène" ici et les ailes ça le fait grave comme qui dirait. L'Aigle est royal, si j'ose dire...

l'aigle sera libre un jour, mais uniquement quand je n'en aurai plus besoin...

JE ne sais toujours pas quelle fut la folie qui me prit de sauter, comme un dératé, dans le vide, du haut de cette pyramide, avec une elfe dans les bras.
C'était comme si une part de moi-même, longtemps endormie, s'était subitement réveillée, et avait repris les choses en main. Comme si, un instant, j'avais su quoi faire.
Toujours est-il que je volais, lourdement, certes, et très peu élégamment, mais au moins laissions-nous les trolls et leur rituel macabre derrière notre route. La brume nocturne n'arrangeai en rien les choses dans mon apprentissage du vol, et je faillis plusieurs fois m'écraser contre un arbre, ou encore un rocher que j'avais jugé trop loin pour le toucher.
Ma compagne de vol, qui avait je ne sais par quel miracle réussi à se caler sur mon dos, entre mes deux ailes, ne prononçait aucun mot. Peut-être l'avais-je blessée dans son amour-propre, ou encore une de ces multiples raisons que seules les femmes sont à même de déchiffrer.
Son attitude boudeuse éveilla un profond souvenir enfouit au tréfonds de mon cœur. Je sus, à partir de ce moment, le détail qui m'avait fait ralentir mes gestes lorsqu'elle m'avait attaquée. Je connaissais sa démarche. Des milliers de visages défilaient devant mes yeux, tous féminins, tous avec des expressions d'abord joyeuses, puis de plus en plus horrifiées, jusqu'à se figer dans la grimace d'horreur que même la Mort ne peut enlever.
Cette Mort, j'en étais la cause.
Certains érudits parlent de personnes qui étaient extérieures à la ligne du destin. Que elles seules décidaient de leur destin; qu'en des temps oubliés, bien avant l'arrivée des humains, à l'époque où les Titans régirent le monde, un peuple fut créé.

Un peuple pur, n'ayant besoin que des énergies cosmiques pour vivre. Qui n'avait pas besoin de puiser dans la Nature ce qu'il lui fallait pour vivre. Que grâce à ces énergies, ils construisirent le plus grands des royaumes, sans guerres, sans violences.
Cependant, une sorte de mission leur avait été imposée : celle de veiller sur Azeroth, de le gouverner avec paix, en attendant le retour des Créateurs. Dans leur tâche, un immense don leur avait été fait ; celui de pouvoir résister à l'emprise de la vieillesse, de pouvoir résister la dégradation du corps. Ainsi, ils étaient... Immortels.
Mais, après le départ des Titans, lorsque tout avait été fait, ils se mirent en tête d'amasser les connaissances, afin de pouvoir préparer les humains à vivre dans la clémence, quand eux-mêmes partiraient à leur tour. On dit que l'enfer est pavé de bonnes intentions, et la déchéance se mit à l'œuvre.
A force d'entasser les savoirs, certains se révélèrent... douteux, voire même dangereux pour le jeune peuple qui allait naître. Certains Elfes, car c'était le noms qu'ils s'étaient donné, se mirent en quête de ces savoirs interdits, pensant que dans le mal existait du bien. Mais ils se mentaient à eux mêmes et, lorsque tout fut connu, lorsque plus rien ne restait qu'à attendre, il expérimentèrent les savoirs qu'ils avaient amassés.
Lentement, la décadence et la luxure dans laquelle ce peuple tomba modifia le monde d'Azeroth. Selon leurs souhaits, les saisons s'arrêtaient, les nuits duraient, les plaisirs impies fleurissaient. Le destin de tout un monde s'enroulait autour de cette civilisation qui n'en portait que le nom.
Cependant, les plaisirs et les jeux de plus en plus macabres de ce peuple attira les démons du Chaos et, par des procédés encore inconnus, ils corrompirent les elfes. Ceux-ci oublièrent les Titans au profit de ces ignobles entités, qui se jouèrent d'eux et les forcirent à adopter des coutumes encore plus cruelles et insensées, dans le seul but de leur procurer du plaisir. Le plaisir de sentir les âmes des malheureux se faire dévorer pas les démons du Chaos.
Puis, les maîtres des démons, ceux-là mêmes que l'ont pourrait appeler "chefs" de cette infamie, perdirent patience, et sacrifièrent tous les elfes corrompus d'Azeroth, qui engendra un râle d'agonie psychique si monstrueux qu'en résonnant dans cet espace appelé "Empyrean", il alerta les Titans.
Ces derniers revinrent en Azeroth, et, voyant l'échec de cette création, abandonnèrent la planète.
Mais, dans les elfes, tous n'étaient pas corrompus. Certains s'étaient mêlés à la vie sauvage, et se servirent de leur don de modifier le destin pour entraver la progression du Chaos, qui battit en retraite.
A partir de ce jour funeste, ces survivants entreprirent de protéger les humains naissants de découvrir trop de secrets interdits, et ainsi leur éviter la même erreur que les Elfes. Bien sûr, une partie de ces elfes décida de renier ses origines et se mêler à la population humaine.

C'est ici que mon passé se situe.
C'est ici que mon origine interdit à quiconque le droit de m'aimer, sous peine de mort, car, en modifiant le destin, on modifie des dizaines, parfois des centaines de vies à la fois, et ceux qui pensent à moi sont les premiers touchés, car liés en partie à mon destin maudit.
Ceux qui croisent ne serai-ce qu'une fois ma route ne sont hélas voués qu'à une mort certaine.

Et cette jeune fille venait de se condamner.

Ben pour pas changer c'est excellent^^

Mais la mort n'est pas de toutes manières le destin de tout être ?? (Les immortels mis à part bien sûr.)

Bon, les vacances loin de WoW approchant, je vais pouvoir enfin continuer...
Avec au menu :
-les batailles aux cotés des guerriers des Loups et de la Grande Armée,
-le mariage d'Eagle,
-le passage heureux,
-son exil,
-et peut-être, une vision de sa mort.

et moi là dedans ?

Et toi ? Ah... Ne serai-ce pas dans le passage heureux...?