Ce violent chagrin qui brise ma passion.
Terreur de mes rêves, massacre de ma vie.
Tant haïs Eros, archer mortel.
Maudites soient tes flèches qui toujours laissent cicatrice et parfois plaie béante, saignement d'amour, dégoût de non-mort.
L'ayant trop écouté hurler, je suis devenu sourd à mon cœur.
Et à présent, ma poitrine évidée ne m'offre que souffrance et douleur...
Ô délivrance, séduisante et enivrante
Appelle-moi que je me rue dans tes bras !